|
|
 |
|
 |
L'association Akongo
L'association Akongo réunit au sein de son bureau une dizaine de membres de toutes origines avec une même motivation : la pratique de la Capoeira Angola ainsi que la recherche sur la culture kongo en Afrique comme dans les Amériques.
|

|
AKONGO est une organisation qui a pour objectif principal l'étude et la recherche sur la capoeira angola et la culture Kongo. Elle s'attache tout particulièrement à rapprocher la Capoeira Angola de ses racines africaines, dans la perspective de promouvoir le dialogue interculturel.
L'association Akongo développe plusieurs types d'activités sous trois aspects, sportif, culturel et social :
-
Cours hebdomadaires de Capoeira Angola
avec Kongo |
- Interventions en millieu scolaire, universitaire, maison des jeunes, prison ect... |
-
Stages, demonstrations et rencontres avec d'autres fomes artistiques |
- Recherche bibliographique et sur le terrain en Afrique centrale et au Brésil. |
etc...... |
|
|
Kongo Nimi
"Kongo" (Junior NSIONA) né à Kinshasa, au Congo, arrive à Paris en 1992. Très rapidement il découvre la capoeira avec un brésilien nommé Iram, celle ci lui rappelait étrangement les jeux martiaux de son enfance. Il s’entraîne alors au sein du groupe Abada-capoeira, il devient élève gradé et il est deux fois vice champion d’Europe dans cette fédération.
Il est ensuite invité sur l’Ile de la Réunion pour un événement de capoeira en association avec un groupe de Moringue (danse martiale locale) pour un échange entre les deux disciplines. Il est invité spécial sur le plateau de « Ca se discute » (n° 37) sur « Les arts martiaux : force de l’esprit ou force de frappe » diffusé le 28 mai 1996.
Ses recherches sur l’histoire et l’origine de la capoeira le conduisent tout droit vers la Capoeira Angola. Il s’entraîne alors avec la Fondation Internationale de Capoeira Angola (FICA).
|
|

|

|
|
Afin de poursuivre ses recherches, il entreprend un voyage au Brésil à Salvador de Bahia, où il s’entraîne quotidiennement auprès de nombreux maîtres comme Joao Grande (élève de Pastinha), Cobra Mansa, Valmir ... C'est là qu'il prend réellement conscience de l'héritage kongo dans la Capoeira Angola, il écrit un article dans la revue "toques de Angola" de l'institut Nzinga de capoeira Angola et de tradition éducative Bantu au Brésil.
De retour à Paris, il crée AKONGO dans l’objectif de structurer son travail sous forme d'un centre d'étude et de recherche sur la capoeira angola et la culture Kongo en Afrique ainsi que dans les Amériques. |
|
|
|
|
|
 |
|
|
|